Après leur dure semaine, aux travaux des champs pour la plupart, nos anciens savaient se ménager et s'organiser un agréable dimanche après-midi, moment de détente, de retrouvailles et d'échanges. Ainsi la Société du Cercle se réunissait pour danser. Pour profiter au mieux de leur loisir, leur règlement prévenait pour ne pas avoir à guérir : "Interdit aux enquiquineurs". Un métier aujourd'hui devenu nécessaire n'était pas encore né, bien que pressenti : videur! !!
L'abondance des loisirs, le temps libre, que le progrès a apportés de nos jours, semblent amplifier le phénomène enquiquineur. La consommation passive, la variété, l'individualisme, l'ennui en seraient-ils la cause? Les "boites" prolifèrent, prospèrent et le métier de videur est presque d'utilité publique. Le bal du samedi soir est tombé aux oubliettes, il y a bien longtemps qu'on ne parle plus de celui du dimanche après midi.
Autres temps, autres mœurs, seuls les enquiquineurs se perpétuent!
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